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| | | A la pêche aux... Zombies !? |  |
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Saito Oku
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|  Sujet: A la pêche aux... Zombies !?  Mar 26 Jan - 2:32 | |
| Lundi 13 décembre… « 8 H 00 »
Plantons le décors d’un réveille bien difficile. Saito ne savait ni l’heure qu’il était n’y ou il était. Tout ce qu’il avait reconnu c’était le voix de Hizo, le petit frère d’Honzo [Vous vous souvenez le chef de la bande] , il était venu le réveiller pour une obscure raison que Saito maudissait sans vraiment la connaitre. Tout ce qui lui apparaissait c’était son mal de tête accompagné d’un énorme trou noir… Enfin ce n’était pas le premier et ca ne serai surement pas le dernier. Les yeux toujours clos pour se préservé de la lumière émise par une vielle lampe un peu trop gourmande, Saito désormais assis sur le futon, qui lui avait servi de lit, baillât un grand coup avant d’enfin ouvrir les yeux. Il s’étira un grand coup tout en observant la pièce dans laquelle il se trouvait. La pièce est assez sommaire et pas franchement dans un très bon état. On pouvait voir très clairement l’humidité remonté sur de large pan du mur, une ruine d’étagère donnant le seul relief visible et quelques posters en piteux état cachant on ne sait quoi, et personnellement Saito n’en avait rien à faire. Il se leva d’un bon avant de planter son regard droit dans celui d’Hizo. C’était devenu un rituel depuis qu’il avait nouer ce lien très fort qui les rendait quasiment inséparable. Une joute perpétuelle, qu’elle ce soit psychique ou physique, s’était instauré, comme une rivalité affiché, mais il y avait quelques chose de tacite entre ces deux la et personne ne savait vraiment de quoi il retournait. Tout ce qu’ils pouvait faire c’était les regarder accomplir leur petit rituel avec toute la curiosité du monde et la plus déconcertante des incompréhension.
Mais bon ce qui devait arrivé arriva et ils rirent encore une fois de bon cœur.
Reprenant son sérieux Saito suivit Hizo jusque dans la cuisine pour profiter d’un maigre repas avant d’attaquer une nouvelle journée qui ne risquait pas de décevoir notre jeune ami. Mais ça il n’en savait rien.
[Saito]« Putain, j’ai un de ces mal de crane… Il s’est passé quoi hier soir? »
Hizo se retourna alors vers lui avec un léger sourire en coin, le silence régna l’espace de quelques secondes mais ce fut suffisant pour Saito qui répondit alors.
[Saito]: « Connard! »
Oh s’était sans animosité que Saito prononçait c’est mots il savait juste que se qui c’était passer hier soir allait bientôt lui sauté à la tête comme un millier d’abeille défendant leur ruche. Bizarrement il ne voulais plus vraiment en discuté, d’ailleurs Hizo l’avait bien compris et ils reprirent leur rituel petit rituel qui s’acheva avec l’arrivé de Gonzo et de Fuji.
Leur arrivé fut plutôt bruyante et les carcasses des meubles de la cuisine en tremblèrent. Leur bois n’était pas tous jeune et le manque visible d’entretient ne les aidait pas à conservé leur ancienne jeunesse. Les deux jeune intrus prirent donc place en compagnie des deux compères se servant sans retenu dans les maigres provisions qu’ils avaient sortis.
[Gonzo]: « Et les mecs écouter moi ça c’est vraiment n’importe quoi! »
Accompagnant le geste à la parole Gonzo retira un de ses écouteur pour le tendre à ses deux amis, Saito le plus rapide se saisit de celui-ci avant de l’intercaler. Apparemment c’était la radio, Saito fut surprit de voir que Gonzo écouter les informations.
[Saito] « T‘écoute les info toi? »
[Gonzo] « Tais-toi et écoute » dit-il en posant le doigt sur ses lèvres.
Saito se concentra donc sur les dire du présentateur radio, il avait pris le reportage en route et il ne comprenait pas bien ce que ça raconter, des agression particulièrement sanglante, des cas isolé dans Tokyo mais suffisamment nombreux pour faire du sujet le scoop choc de ce matin…
D’un air blasé Saito lâcha l’écouteur. Encore un canular pour appâter l’audimat.
[Saito] « Encore des conneries pour cul-terreux… Crois moi dans 2 jours on parlera du scandale des fausse agression! »
Le petit déjeuné se termina dans un capharnaüm de propos médisant envers la presse et tout ces moyens d’information tout juste bon a effrayer la ménagère de plus de 50 ans et à raconter les malheur des autres.
« 9 H 12 »
Saito avait trainassait et glander la majeur parti de son temps. Il n’avait aucune activité en cours et n’avait pas l’intention d’en commencer une nouvelle aujourd’hui. C’était un jour banal sans grand intérêt et il savait pertinemment qu’au vue de ce qui s’était passer ce matin il allait s’ennuyer à mourir le plus clair de son temps. Il pouvait toujours fureter dans les ruelles, à la recherche d’un junkie pour remplir son porte monnaie, quoi que à cette heure -ci les seul junkie des ruelles étaient tous fauché. Il pouvait encore se procuré l’argent des premier de la classe, les cours avait certes commencé mais arrivé en retard pour lui n’avait jamais était un soucis et pour le plupart les professeur préférait l’ignorer. Cette situation ne le gênait guère il avait la paix et cours et pouvait faire ce qui lui plaisait sans le moindre soucis. Il regarda la rue, la foule le déprima. Tout ces gens avançant sans la moindre détermination prit dans une routine aliénante. Il secoua la tête de dégout il ne voulais pas ça pour lui il ne voulais pas de l’avenir que lui proposait la société et pourtant il avait le projet d’aller au lycée et pourquoi? Par ennui! Sa propre attitude le révolta, il n’était pas question de tomber dans leur piège insidieux, il aurait la peau de la société et non pas le contraire…
D’ailleurs il était tan de faire un peu de bazar!
« 9 H 37 »
Saito était parvenue à l’entré du lycée, le portail était fermé car les cours avait déjà commencé. Bon c’était pas un petit portail qui allait l’arrêter. Sans attendre une seconde de plus Saito enjamba la grille pour se faufiler à l’intérieur du Lycée. Cette grande bâtisse était toujours la même. Mais a peine avait-il franchit le premier obstacle qu’un second pointa le bout de son nez, un pion, du nom de … de … tiens Saito l’avait complètement oublier. C’est pour vous dire les heure qu’il avait consacré à son éducation.
Bon le pion ne lui fit pas trop d’ennui. La seul chose que le pion fit, fut d’une part de le jaugé, après tout ses rares moment de présence était en soit des exploit, puis il lui fit signe de se dépêcher de se rendre en cours avant d’avoir des problèmes. Saito passa son chemin le sourire au lèvre sous le regard méfiant du pion, vraiment ces types-là pouvait-on fait plus c**, enfin c’est ce que se disait Saito.
Saito dévala les escalier pour rejoindre sa salle de classe il avait à l’esprit une entrer fracassante pour marquer sa présence avant de prendre tranquillement place.
Mais un heureux hasard le fit tomber sur une vielle connaissance:
[Saito]: « Mon petit Kyo comment va tu? »
[Kyo]: « Saito !? Qu’est ce que tu fou ici? »
[Saito]: « Et bien je suis venu te voir, tu me manquais tu sais? J’ai même cru que tu m’évitais? »
[Kyo]: « Voyons comment peux-tu croire cela? Apres tout ce que tu m’as fait subir je croit que j’ai assez payer. »
[Saito]: « Oh, tu peux bien payer une fois de plus… »
[Kyo]: « C’est-ce que tu as dit la dernière fois! »
[Saito]: « Et c’est ce que tu entendra la prochaine fois »
Le ton de sa phrase avait prit une intonation de menace, cela faisait un moment que Saito martyrisait cette pauvre âme, et ils étaient les seuls qui savait pourquoi. Quoi qu’il en soit Saito agrippa violemment le bras de Kyo avant d’ajouté.
[Saito]: « J’espère que tu as quelque chose pour moi! »
[Kyo]: « Non pas aujourd’hui! Lâche moi tu me fait mal ! »
[Saito]: « Ecoute petit con, je veux plus jamais entendre cette réponse! Tu m’entends? »
Kyo acquiesça d’un signe de la tête, sous le coup de la douleur les larmes perlaient sur ses yeux. Mais les yeux de Saito transpirait la haine et la colère il lui fallait passer ses nerfs sur quelque chose te la seul chose qu’il avait sous la main c’était les doigts de ce pauvre Kyo. Dans un élan de brutalité Saito se saisit du doigt de son camarade tout en le regardant méchamment, il fit prendre alors un angle à ce doigt que ce dernier ne supporta pas et dans un grand cris étouffer le doigt se déboita.
[Saito]: « N’oubli pas! C’est un conseille d’ami.. Et va faire soigner ce doigt les chutes dans les escaliers peuvent révéler de mauvaises surprises… »
Saito prit alors le chemin de la classe pour faire son entrer triomphale… ce qui eu pour effet de dissiper la classe cinq minute le temps que Saito retourne a son ennuie. Le reste de la séance se passa sans accro si ce n’est les rare intervention de Saito tout a fait hors de propos…
« 11 h 11 » Panique au village…
Tout avais pris un air de n’importe quoi… les agressions sanglantes elles était réelle et maintenant elles étaient la sous les fenêtre du lycée. Franchement ce monde partait vraiment en vrille… Autant tiré son épingle du jeu. Saito n’avait pas envie de fuir, et d’abord pour fuir où? Cette bande d’excité des mandibule était à toute les sorties, impossible de leur échappé. Saito aurait bien voulu échangé quelques coups mais vue leur nombre et le sang qui les couvrait Saito sentait que ce n’était pas le genre de gus à se coltiné..
Aller il était tan de piller, dans la panique les gens avait oublier la moitié de leurs affaires, et si Saito avait de la chance il pouvait tomber sur des objets assez lucratif. Bijoux, portable, Lecteur Mp3, tout était Bon à prendre, après tout s’ils ne voulaient pas les perdre il fallait les emporté.
La pêche fut finalement assez décevante, et Saito ne trouva ni bijoux ni argent, un vieux téléphone oublier dans la cohue, sinon le reste n’était que cahier, feuille volante, stylos et tout un tas de fourniture scolaire tout à fait inutile.
Bon aller une dernière porte, et après il faudra songer à partir car les agresseur avait commencer une lente… très lente ascension dans le lycée. Alors que Saito ouvrit la porte il fut surpris de voir des bureau et des chaines bloquant le passage. Quand son impatience reprit le dessus il s’agrippa au battant de la porte pour donner une grand coup dans cette barricade de fortune qui s’effondra comme un château de carte. IL fut de nouveau surprit quand il fit la rencontre de la jeune fille qui devait être à l’origine de cette barricade…
Il demanda d’un air étonné…
[Saito]: « Qu’est-ce que tu fous encore là!? T’es pas parti avec tout les autres? »
Dernière édition par Saito Oku le Mar 26 Jan - 20:12, édité 2 fois | |
| | | | Natsumi Horikita
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Mar 26 Jan - 15:32 | |
| Une douce mélodie en guise de réveille.Voilà. Une nouvelle journée allait commencer. Natsumi se dépêcha d'éteindre la musique, car elle savait que son grand-père n'aimait pas ce genre de musique. Pour lui ce n'était qu'une affreuse cacophonie juste bonne à rendre les jeunes complètement sourd. Il était six heures du matin, juste le temps de passer un peignoire et elle passa en cuisine. Comme d'habitude, la jeune Horikita devait se lever pour préparer le petit-déjeuner pour tout le monde. Cela faisait dix bonnes minutes qu'elle s'activait dans la cuisine quand tout le monde commença à arriver. Une douce odeur de thé et d'oeuf brouillés planait dans la pièce à vivre. La jeune lycéenne apporta le petit-déjeuner sur table très rapidement. Tout le monde mangea en silence, après tout il ne fallait pas perdre trop de temps. Vers sept heures tout le monde avait fini et Natsumi débarrassa la table pour faire la vaisselle. Un rapide passage sous la douche et un brossage de dents plus tard, elle se retrouva dans sa chambre pour enfiler son uniforme. Une rapide vérification de ses affaires et la voilà partie pour le lycée. L'adolescente s'en alla en cours en pensant bien à souhaiter une bonne journée à sa famille. La jeune lycéenne préférait marcher et c'était pour cela qu'elle partait un peu plus tôt que si elle prenait les transport en commun, puis le lycée n'était pas si loin que ça. Le trajet durait environ vingt à vingt-cinq minutes et cela laissait le temps à Natsumi de profiter de sa musique grâce à son Ipod. Puis il fallait dire que le paysage n'était pas si affreux, car elle passait par les jardins et empruntait les petites ruelles. Cela lui faisait faire des détours parfois, mais cela rendait le trajet bien moins monotone et elle n'avait pas à supporter la circulation. L'un dans l'autre, Natsumi trouvait qu'elle était gagnante.
Il était huit heures moins cinq quand la jeune Horikita arriva au lycée. Il y avait déjà beaucoup de monde. Toujours avec son Ipod vissé sur ses oreilles, Natsumi traversa la foule sans prêter la moindre attention aux autres. De toute façon, peu d'entre eux la connaissait vraiment même si beaucoup de garçons avaient envie de faire connaissance avec elle. Fendant la foule, tel un paquebot les océans, Natsumi se dirigea vers la salle de cours. C'était presque l'heure du début et elle s'installa comme à son habitude juste à côté de la fenêtre vers le milieu de la rangée. Elle aimait bien cette place, cela lui permettait de s'évader un peu quand elle s'ennuyait en cour. Le professeur de sciences fit son entré dans la salle, le cours allait commencer maintenant. Natsumi en avait pour deux heures enfermée dans cette salle à suivre un cours de science physique qui ne l'intéressait pas beaucoup. La jeune lycéenne se demandait qui voulait savoir comment on faisait pour faire du savon. Pour en avoir, il suffisait d'aller chez le commerçant du coin et le tour était joué. Certes, il fallait le faire, mais les formations ne servaient-elles pas à apprendre aux gens leur métier. Bref, elle trouvait ce cours ennuyeux et inutile. D'ailleurs, en parlant de savon, elle devait passer par l'épicerie de madame Ueniechii pour en prendre, car il y en avait presque plus à la maison. La grande horloge au-dessus du tableau noir indiquait dix heures moins trois. C'était bientôt la fin du cours et elle pourrait souffler un peu avant de se replonger dans les études. Cette fois ça serait un cours d'histoire, une matière qu'elle aimait bien surtout quand ça parlait de la période des samouraïs. Elle avait en gros dix minutes avant le début du cours suivant et elle en profita pour aller jusqu'au distributeur prendre une barre de céréales et un jus de fruit. Elle avait son repas de prêt pour l'heure de midi, mais elle n'avait pas fait de désert et elle n'avait pas prit de quoi boire non plus. C'était donc en prévision qu'elle fit ses courses. Elle retourna à sa place pour attendre sagement le professeur. Monsieur Akagami était un homme passionné par sa discipline et il arrivait à transmettre cela à ses élèves en général. Le temps passait assez vite, si vite que Natsumi n'avait presque jamais jeté un oeil dehors. Cependant, des cris attirèrent son attention.- Une personne dans la cour: Au secours ! A l'aide. Noooooooooooooooooooooooooon ! Arghhhhhhhhhh !La scène était surréaliste. Un groupe de quatre personnes était rentré dans la cour du lycéen et s'était jeté sur une des femmes de ménage de l'établissement. Ce fut avec horreur que Natsumi remarqua qu'il avait commencé à la manger. Elle laissa échapper un cri qui attira l'attention de tout le monde sur elle. Elle ne pouvait plus parler, elle était blanche comme un linge. La seule chose qu'elle pouvait faire c'était de montrer d'un geste tremblant et hésitant ce qu'elle avait vu. Rapidement, il y eut d'autres réactions et finalement l'ensemble de la classe remarqua la scène d'horreur qui se déroulait plus bas. L'un des surveillant voulu aider la pauvre femme en chassant les intrus et lui aussi finit en plat de résistance. Le plus difficile à comprendre, c'était que ce groupe n'était que des éclaireur, car on pouvait voir plusieurs autres personnes arriver d'un pas lent. Soudain, le grésillement des haute-parleurs annoncèrent la prise de parole de l'administration.- L'administration: Je demande toute votre attention. Ceci n'est pas un exercice. Je répète, ceci n'est pas un exercice. Il faut appliquer le plan d'évacuation. Je vous demande de garder votre calme. Eh, que faites-vous là ? Eh,mais lâchez-moi. Noooooooooooooooooooooooooooooon, laissez-moi. Noooooooooooooooooooon.On pouvait entendre des bruits de lutte grâce au micro. Rapidement le calme se fit et on pouvait entendre des gémissements lugubres. La panique commença à s'emparer des élèves et du personnel. Tout le monde se rua dans les couloirs sans faire attention aux autres. Dans la bousculade, certaines personnes tombaient et se faisaient piétiner par la foule prise d'une panique frénétique. Natsumi, quant à elle, resta abasourdie devant le spectacle qui se jouait devant elle dans la cour. Elle resta là, plantée sur place sans aucune réaction. Finalement, elle réussit à quitter son état hébété et remarqua que d'autres personnes comme les agresseurs de la femme de ménage et du surveillants arrivaient en grand nombre. Suivre le plan d'évacuation, c'était se jeter dans les bras de ces monstres cannibales. Comment faire pour quitter le lycée en vie ? Premièrement, il fallait trouver un moyen d'échapper à ces fous. En regardant autour d'elle, la jeune lycéenne remarqua qu'elle était toute seule dans la salle. Voilà, elle allait se barricader dans cette pièce en attendant que tout ce grabuge se calme un peu. Comme ça elle pourra réfléchir sur comment se sortir de ce mauvais pas. Prenant grand soin de fermer les portes, elle plaça devant les entrées des monticules de tables et chaises pour obstruer le passage. Elle espérait que cela serait suffisant pour arrêter les fous. Elle prit ses sacs (de cour et de sport) et se cacha derrière le bureau du professeur qu'elle avait déplacé près de la fenêtre pour pouvoir observer ce qui se passait dehors. On pouvait entendre les cris des gens terrifiés par le spectacle d'horreur de voir des gens manger d'autres personnes encore vivantes. Ce devait être une fin terrible à vivre. Toujours d'un pas lent, mais implacable, les agresseurs continuaient d'avancer vers les bâtiments. Leur progression était inéluctable si bien que Natsumi se demanda si elle avait fait le bon choix. Malgré le massacre beaucoup de personnes avaient réussis à fuir. Maintenant c'était trop tard, elle devait se cacher et espérer passer inaperçu aux yeux des cannibales. De ci, de là, on pouvait entendre des hurlements de douleur ou d'agonie des victimes. La jeune lycéenne sursauta quand elle entendit la porte s'ouvrir. D'instinct, elle saisit le manche de son Bokken pour faire face au danger. Ils étaient arrivés plus vite qu'elle ne la pensait. D'ailleurs la barricade ne fit pas long feu. Face à elle se trouvait un jeune homme tout aussi surpris qu'elle de cette rencontre. Il semblait normal par rapport aux "méchants".- Saito Oku: Qu’est-ce que tu fous encore là, t’es pas parti avec tous les autres ?Il semblait vraiment normal, puis on pouvait entendre dans les escaliers les gémissements des agresseurs. Il était à l'étage en dessous, mais ils ne tarderaient pas à être ici sous peu. La situation était particulièrement stressante pour le jeune femme qui ne savaient plus quoi faire. Elle regarda la jeune homme d'un air plein d'interrogation. Elle se demandait ce qu'ils allaient devenir, comment quitter ce maudit lycée en vie, qui il était et tellement d'autres choses. Elle avait l'impression que sa tête allait exploser sous la pression des innombrables questions qui fusaient dans sa boite crânienne. Elle le regarda et lui répondit sur un air plein de méfiance.- Natsumi Horikita: Je pourrai te retourner la question. | |
| | | | Zombies
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Jeu 28 Jan - 10:40 | |
| Attaque imprévue Dehors, les zombies se multipliaient, anihilant toute vie aux alentours, attaquant les personnes qui esperaient resister et qui finalement tombaient au combat, pour ensuite se relever aux côtés des morts.
Une des agents d'entretien avait tenté de fermer les grilles pour les retarder, mais ce n'eut pour effet que de précipiter sa fin. Les créatures saisirent à pleine dents sa gorge et l'arrachèrent avant de dévorer le reste de son corps. Avant de se faire attaquer, elle avait donné l'alerte en criant de toutes ses forces, et les professeurs prirent les devants.
L'attaque fut sanglante et brève. Ceux qui tentèrent de s'échapper du lycée finissaient par se faire attrapper et baignaient dans leurs propre sang. Certaines personnes étaient restés dans le bâtiment, préférant la sécurité des lieux et pour les possibilités de fuites que le lycée offrait.
Au bout de quelques minutes, les zombies parvinrent à franchir les portes du bâtiment principal en détruisant les portes. Le lycée était à présent cerné de centaines de zombies en quête de chair et de sang. Leur lenteur en faisait des ennemis coriaces, mais vulnérables, et certains arrivèrent à monter aux étages supérieurs, même si le nombre des survivants était très peu élevé.
Dans les rues, la population s'agitait dans tout les sens, les zombies pourchassaient les vivants, et la circulation était chaotique. Les voitures fonçaient dans tout les sens, ne se souciant que de leur survie, les conducteurs renversaient les zombies comme les piétons, prit dans la panique.
Hiro, transporteur de produits surgelés, devait ce matin là livrer une commande importante et décidait de passer par Tokyo lors de son trajet. Sur la route, il prit une auto-stoppeuse qui allait à Tokyo. Lors d'un arrêt à une station service, la fille se fit agresser par un infecté, dont il ignoraient alors l'existence et en pensant que c'était juste un fou. la fille ne se sentait pas très bien, et était toute pâle. Hiro décida de l'emmener dans un hôpital. A ce moment, la fille, il ne sut pas pourquoi, se mit à l'attaquer et il se débattit.
Le camion frigorifié heurta le mur d'enceinte du lycée Sakura et le détruisit dans un fracas de pierres et de gravas. Le véhicule tomba sur le côté et continua sa route vers le lycée.
Lors de la collision, un énorme tremblement se fit entendre aux alentour.
Le camion fit s'éffondrer une partie du rez de chaussée, du premier, et du deuxième étage, ce qui laissait un trou béant apparaître dans le bâtiment.
Dans l'accident, certains trouvèrent la mort, et les dégâts chez les zombies étaient conséquents. Le véhicule couché fut rapidement submergés par les créatures. Hiro se releva, mais de l'autre côté de la barrière, les yeux révulsés, la moitié de son corps manquant et errant sans âme parmi ses désormais confrères.
Les dégâts étaient énormes : les fondations s'étaient effondré, ne laissant que gravas et blocs de béton à même le sol. La masse de zombie s'était retrouvé réduite suite à l'éboulement et leurs nombre se vut diminué. Le véhicule était fermement enfoncé dans le bâtiment principal et avait atteint les fondations maîtresses, ce qui avait provoqué l'éboulement massif vers le centre du bâtiment. Le rez de chaussée était le plus touché, le camion étant passé à travers les salles de classe désormais inaccessibles à cause des débris des étages supérieurs. Le premier étage possédait un énorme trou qui donnait sur trois salles de classes desormais éventrées, et le deuxième étage avait subit moins de dégâts, qui étaient tout de même conséquents et le sol des deux salles se situant le plus proche de la façade s'était écroulé. Une partie du toit s'était envolée, mais les bâtiment était bâtit avec de solides fondations. | |
| | | | Rui Mujaki
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Sam 30 Jan - 3:32 | |
| Le commencement de la fin
Un tremblement sembla faire chavirer le bâtiment scolaire, Rui c'était bien vite jetait à terre quand la secousse c'était produite, se protégeant le crâne... Un bruit, comme une sorte de sourde explosion avait retentit avant que les murs ne tremble... C'était pas bon du tout! Quant tout sembla se calmer, du moins que la terre cesse de trembler, Rui entreprit de sortir de cette classe, il tira chaise et bureau qu'il avait entassé dans l'entrée, les traînant au sol avec une rage qu'il ne parvenait à contenir... Ces sentiments était la rage et l'horreur... La rage contre qui? Il ne savait pas, mais l'envie de se frapper la tête au sang contre un mur se faisait très forte...Il parvint enfin à la porte... Mais le bruit lui avait attiré quelques copains... Il y avait en face un prof de lettre il lui semblait, et vu son regards sans yeux, il ne devait plus être lui-même, Rui le poussa du bout de la batte pour sortir... Mais il semblait de marbre, il donna un coup quelque part de très sensible chez un homme, mais le mi-mort mi-vivant semblait avoir perdu tout ce qui pouvait lui faire du mal... Rui lui cracha des injures et s'attaqua à ses jambes, sans succès... Il avançait toujours, Rui lui reculait, il était pâle et regardait furieusement la sortie... Y'en avait d'autre comme ça? Il regarda le zombie, et le fait de penser à ce mot il eut une idée, il brandit sa batte au dessus de sa tête:"Crève enfoiré!"Il l'abattit avec force sur le crâne de l'ancien professeur, qui s'affala, sans plus aucune vie. Il aurait volontiers vomit de dégout à nouveau mais il n'avait plus la force de, alors il sortit en trombe de la salle et se dirigea vers les escaliers... "Ils" occupaient l'escalier et montait inlassablement dans un désordre macabre, l'odeur de sang fit frétiller la narine de Rui... Il se détourna et courut à travers les couloirs pour trouver un nouvel échappatoire... Un nouvel escalier... Celui-ci était encore pire, il commençait déjà à vomir sa horde de revenant décharné, Rui courut plus vite, transpirant... Il était seul, tout seul face aux autre qui ne souhaitait qu'une chose: sa viande...Il arriva à un nouvel escalier encore, il n'y avait personne... On entendait des gémissements au loin, Rui s'arrêta quelques instant, le temps de souffler un peu... Il lui restait la totalité d'un couloir avant de parvenir à la cage d'escalier, mais personne... Sauf... Il avait entendu des voix... Des paroles? Il se redressa, partagé entre le soulagement et la terreur... Il se saisit de sa batte, ses jointures blanchirent sous sa pression, une goutte de sueur perla... Il marcha en direction du bruit... Il ne savait s'il devait prendre les inconnu par surprise si jamais ils s'avéraient dangereux, ou s'il devait prévenir de sa présence, la tension l'emporta sur la suspicion:"Oh!... Y'a quelqu'un?"Il s'approcha encore, la batte levé... Les gargouillement morbide s'accentuait de plus en plus dans les escaliers... qu'allait-il faire s'il était seul?... Il ne pourrait annihiler une armée entière de mort-vivants... Il frissonna et serra les dents... Espérant que les paroles fussent prononcé par des personne encore bien vivante.
Dernière édition par Rui Mujaki le Mer 14 Avr - 18:29, édité 2 fois | |
| | | | Saito Oku
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Sam 30 Jan - 17:00 | |
| [Natsumi]: « Je pourrai te retourner la question. »
Après tout elle n’avait pas tord. Lui aussi il se trouvait dans le bâtiment, furetant comme un voleur à la recherche de babioles diverses et variées. Il n’avait pas vraiment paniquer à l’attaque de ces « cannibales? » alors pourquoi serait-il le seul? Pour sa part il n‘avait pas vraiment réalisé ce que signifiait cette attaque et les danger qu‘il courait en restant ici. Il était habituer a ce fier a son incorrigible témérité. Quoi qu’il en soit il se retrouva là, quelques secondes interdit par la répartie de la demoiselle. Non pas que sa phrase lui avait couper l’herbe sous le pied, mais plutôt qu’il n’avait pas imaginer trouver ici quelqu’un avec autant de sang froid. Alors la répartit n’arrangeait rien à sa surprise. Enfin quelques part il était soulagé de ne pas trouver une de ces petit pleurnichard qui se cache dans les placard en attendant que quelqu’un vienne pour les sauver. Il avait en face de lui une jeune fille qui ne laissait rien transpirer de sa peur . Un petit sourire fendit ses lèvres tandis que son regard continuait de d’affronter celui de la lycéenne.
Regard orné de jolies yeux noisettes, pensa Saito. Il prit donc le temps de mieux observé son interlocutrice. Une première observation faussé par l’image de la lycéenne typique n’avait pas fait remarquer à Saito le fait qu’elle ne ressemblait que très peu à une japonaise typique. Peut être une étudiante étrangère, qui sait? Peut être n’avait-elle pas la mentalité typique des lycéenne de son âge? Saito était légèrement intriguer par ce qui se présentait à ses yeux et la seul chose qu’il pouvait faire c’était la jauger de part son apparence. La plupart du temps cela suffisait a cerner la majeure parti de la personnalité des gens, plus superficiels les uns que les autres…
Mais cette fois Saito avait un pressentiment étrange.
Oh, et puis qu’est ce que ca pouvait bien faire?
[Saito]: « On dirait bien… » fut la seul réponse que Saito donna à la donzelle avant de la quitter du regard pour passer à autre chose.
Il était toujours placé sous l'embrasure de la porte, et cette rencontre avait stoppé sa fouille du bâtiment et après tout, il en avait un peu marre de cette recherche infructueuse. Il était grand temps de bouger de là. Saito s’avança vers la fenêtre pour voir comment avait évoluer les choses, sans faire d’avantage attention à la jeune fille. Le fait que cette dernière avait nettoyer la pièce de ses table et ses chaise pour fabriquer sa barricade facilita l’avancer de l’adolescent une fois les restes de la dite barricade enjambés. Il arriva alors à la fenêtre et jeta un œil attentif à la scène de carnage qui se déroulait encore dans la cours du lycée.
Quel ne fut pas sa surprise de constaté que le nombre de ces créatures avait augmenter de façon exponentiel. Comment cela était-il possible? On se serait crue dans un de ses mauvais film de série Z avec un virus mystérieux touchant la population mondial pour la transformé en chose assoiffé de sang.
Non, non et non ca ne pouvait pas être ça, et puis quoi encore? Un expérience ratée des extraterrestres? Ou bien encore l’ouverture des portes de l’enfers par un culte satanique?
Saito ne savait pas bien ce qui se passer et sa situation sentais de plus en plus le roussie. Il fallait partir d’ici et vite, vue leur nombre ils auraient vite fait de cerner tout les accès au bâtiment condamnant pas la même occasion tout ses occupant. Il était clair pour Saito que faire parti des dit occupants n’était pas dans ses projets .
Durant toutes ses réflexions Saito n’avait pu laisser échapper qu’une seul phrase:
[Saito]: « Ouh! Ca va faire mal.. »
Comme si une manifestation divine était venue corroborer ses dires, Saito sentit une large secousse prendre le bâtiment tout entier. Tout cela ne présageait rien de bon mais après tout, mieux valait s‘en assurer. Saito fit volte face histoire de trouver une solution pour quitter les lieux au plus vite. En se retournant Saito se retrouva de nouveau nez à nez avec la donzelle. Il la regarda quelques seconde d’un air interrogatif, avant de s’en détourner pour continuer ce qu’il était parti faire. Apres tout pourquoi l’en informer pourquoi se charger d’une personne de plus? Dans ce monde c’est du chacun pour soit et la situation actuelle n’allait pas changer grand-chose. S’il elle voulais survire elle se bougerai le cul, sinon bye bye, la miss. Mais alors que Saito franchissait une nouvelle fois les ruines de la barricade une voix l’interpela.
[Inconnu]: « Oh!... Y'a quelqu'un? »
encore un imbécile dans ses pattes? Décidément la journée promettait d’être un vrai bordel!
[Saito]: « Ouais! Et qu’est-ce que ca peut te foutre? »
Saito devenait de plus en plus agressif à mesure que le temps passer du fait que chaque seconde de retard le précipitait vers ce qui semblait bien être une mort certaine et ça Saito s’y refusait catégoriquement!
Le jeune homme s’était entre temps rapproché une batte d’aluminium à la main. Voila une idée qu’elle était bonne, une objet contondant valait mieux que ses poings pour se défendre.
Saito qui s’était finalement arrêter finit par dire:
[Saito]: « Jolie, il m’en faudrait une comme ça! »
Dernière édition par Saito Oku le Dim 31 Jan - 0:22, édité 1 fois | |
| | | | Natsumi Horikita
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Dim 31 Jan - 0:01 | |
| Le jeune homme semblait quelque peu déstabilisé par la situation. Il devait être particulièrement surpris de voir encore quelqu'un ici. En effet, avec l'ordre d'évacuation il ne devait plus rester personne dans les classes. D'ailleurs, Natsumi se demanda ce que lui faisait ici. Pourquoi lui aussi avait fait le choix de ne pas partir avec les autres ? Il ne semblait pas encore avoir compris la gravité de la situation. Pendant un instant, la jeune rousse pensa que c'était un de ces charognards qui faisait les cadavres pour s'enrichir. Certes ici ce n'était pas des corps sans vie, mais les affaires restées sur place. Elle secoua la tête pour chasser cette idée dégoutante de son esprit. Elle avait bien trop d'autres choses à penser, comme comment rester en vie ou encore comment quitter cet endroit infernal. De temps en temps, la jeune lycéenne lançait des petits coups d'oeil à ce qui se passait dans la cour. Au vu de l'évolution des événements, il allait être de plus en plus difficile de filer du lycée. Malgré son inquiétude, elle gardait tentait de garder son calme.
- Saito Oku: On dirait bien …
Le jeune homme ne fit pas sa phrase, comme s'il ne voulait pas trop en dire. Elle eut un mouvement de recul quand le jeune homme commença à enjamber les restes de la barricade que Natsumi avait construite avec les tables et chaises de la salle. Il se dirigea nonchalamment vers les fenêtres d'un air le plus cool possible. Le jeune Horikita remarqua à l'expression de son visage qu'il venait de prendre conscience de la situation. D'ailleurs, il ne finit pas sa première phrase pour enchaîner sur une réflexion de stupéfaction qu'il n'avait pas pu retenir à la vue du macabre spectacle de la cour.
- Saito Oku: Ouh! Ca va faire mal.
C'était vrai que d'ici peu de temps ça aller chauffer dans le coin. D'ailleurs, comme un signe annonciateur de l'enfer qui allait déferler sur le bâtiment, une énorme secousse ébranla l'établissement. Sous l'effet de l'onde de choc, La jeune lycéenne perdit son équilibre, se retrouvant assise sur le bureau du professeur et lâchant ses sacs. Aussi rapidement, elle se remit debout sur ses pieds en regardant tout autour d'elle quelque peu affollée par la tournure des événements. En jetant un oeil dans la cour, elle pouvait voir de la fumée sortir de ce bâtiment en son centre. En y regardant de plus près, on pouvait voir que la grille du lycée et une partie du mur d'enceinte avait été détruit. Natsumi ne savait pas ce que cela signifiait, mais ce n'était pas un bon présage. D'ailleurs, le jeune homme se retourna vivement et tomba presque nez-à-nez avec elle. Se provoqua chez la rousse un léger mouvement de recul. Restant un cour instant les yeux dans les yeux, elle ne savait plus quoi faire. Puis, il reprit de la contenance et se dirigea vers la sortie de la classe sans rien dire. Savait-il ce qu'il faisait ? Avait-il une idée pour quitter cet enfer ? Natsumi n'en savait rien, mais il valait mieux le suivre. Alors, sans réfléchir elle se pencha pour récupérer son sac de sport et celui de cour afin de le suivre. Elle savait de toute façon que rester dans cette salle de classe sans rien tenter était une mauvaise idée. Elle le suivait quelques pas derrière quand il s'arrêta net. Elle fût prise d'une peur terrible et en lâcha ses sacs pour se saisir à deux mains son bokken pour se préparer à un affrontement. Cependant, une autre voix masculine se faisait entendre.
- Rui Mujaki: Oh!... Y'a quelqu'un?
C'était rassurant de savoir qu'il y avait d'autres survivants. La réponse du jeune homme à l'inconnu fût assez sèche. Il ne semblait pas connaître politesse ou le savoir vivre.
- Saito Oku: Ouais! Et qu’est-ce que ca peut te foutre ?
Toujours sur ses gardes brandissant son bokken devant elle, Natsumi avança pour voir qui était cette nouvelle personne. Le jeune homme portait l'uniforme du lycée, après tout c'était normal sinon que ferait-il ici ? C'était un petit brun, enfin petit ... Plus petit qu'elle, mais ce n'était pas une référence. Elle était largement plus grande que tout le monde ici. Certaine à cause des gènes paternels qui la faisait plus ressembler à une occidentale qu'à une vraie japonaise. En regardant de plus près, Natsumi remarqua que le jeune homme était armé d'un Batte de Baseball en aluminium. Elle était tachée de sang et cela ne rassura pas la jeune rousse, ni la réflexion de l'autre jeune homme.
- Saito Oku: Jolie, il m’en faudrait une comme ça!
La jeune rousse restait les yeux rivés sur la batte en aluminium. Elle se demandait d'où venait ce sang et à qui il pouvait appartenir. La lycéenne se demandait si ce n'était pas un de ces psychopathes dangereux. Puis les bruits lugubres des "cannibales" se faisaient de plus en plus pressant. D'ailleurs, les premiers étaient visibles sur le palier des escaliers qui se trouvaient derrière le nouvel arrivant. La peur pouvait se lire dans le regard de Natsumi. Elle ne savait plus quoi penser, plus quoi faire et elle baissa sa garde sans s'en rendre compte. Il ne fallut que quelques secondes pour qu'elle reprenne ses esprits.
- Natsumi Horikita: Euh ... Je ... Enfin, on est mal. Regardez là-bas. Ils arrivent. Si on ne se taille pas tout de suite, ils vont nous voir et nous attaquer comme les autres dans la cour.
Natsumi n'était pas rassurée par le nouveau venu, mais la proximité des "autres" l'était encore moins. Elle n'avait qu'une envie c'était de filer d'ici le plus vite possible. D'instinct, la jeune rousse savait qu'il serait plus simple de fuir à plusieurs même si ses nouveaux collège semblaient peu recommandables. Elle allait faire équipe avec un jeune homme qui était probablement un voleur, voir bien plus et un autre qui ne semblait pas vraiment saint d'esprit.
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| | | | Rui Mujaki
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Dim 31 Jan - 12:36 | |
| Saito: "Ouais! Et qu’est-ce que ca peut te foutre ?"
Un homme apparut en face, sortant d'une salle non loin de Rui, il semblait en parfaite santé, mise à part le fait qu'il ne semblait pas enthousiaste à la vue d'un autre être vivant, Rui hésita entre être soulagé de ne pas être seul... Et être profondément aigrie par les manières du jeune homme. Rui fronça les sourcils et desserra les doigts autour de son arme, ils ne semblait pas dangereux, du moins pas trop agressif... Soudain une fille sortit cette fois-ci de derrière le précédent jeune homme, un sabre en bois à la main, elle se mis sur ses garde, comme si Rui était une menace... Une pensées sur la raison pour laquelle il était tout deux dans la classe lui traversa l'esprit, mais il se concentra sur les dire de l'homme.
- Saito Oku: "Jolie, il m’en faudrait une comme ça!"
Rui ne trouva pas l'instant propice à la rigolade... Son visage se figea dans une grimace de mécontentement et d'exaspération, il baissa sa batte, pour montrer que ce n'était pas après eux qu'il en voulait, surtout après un bref regard sur le jeune fille qui semblait prête à en découdre... D'ailleurs cette fille était... Grande... Une étrangère... L'autre était tout à fais japonais... Il ne se perdit pas à les dévisager, il prit juste le temps de faire une réflexion:
- Rui: "C'est pas vraiment le moment de jouer..."
- Natsumi Horikita: "Euh ... Je ... Enfin, on est mal. Regardez là-bas. Ils arrivent. Si on ne se taille pas tout de suite, ils vont nous voir et nous attaquer comme les autres dans la cour."
Rui se retourna vivement, puis vit que de l'escalier précédent, déboulait des non-mort par dizaine, il écarquilla les yeux et commença à reculer... Puis il se tourna à nouveaux vers les deux qui lui faisait face, puis sans mot dire il passa entre les deux sans mot dire, puis tourna la tête et jeta:
- Rui: "Je doute qu'on soit assez pour les vaincre tous... L'escalier semble libre là-bas..."
Puis il courut vers l'escalier qu'il visait auparavant, il ne sut pas si ils décideraient de le suivre... Mais i lavait tout intérêt... Vu le mal qu'il avait eu pour en dégommer un, alors un dizaine... Autant se occuper les veines tout de suite, au moins on se transformerais pas en ces choses...
Il arriva au escalier et contempla, interdit, le spectacle désastreux... Il savait désormais d'où venait le terrible bruit, le sol c'était effondré un peu plus loin et on voyait un premier étage dévasté, puis plus loin, les ruines d'un camion... Et des corps... Rui blanchit, puis se tourna vers l'escalier, il pouvait descendre au premier... il pouvait descendre tout en bas... Il se retourna vers les deux autres vivant:
- Rui: "Je pense qu'on peut descendre par là... Y'a pas l'air d'y avoir grand monde..."
Il regarda par-dessus leurs épaules... Tout les zombie c'était dirigé dans leur direction... Il fronça les sourcils et serra les dents, apparemment ils les avaient vu...
- Rui: "Bordel... On est repéré... Faut pas tarder..."
Puis pour appuyer ses dires il s'élança dans l'escalier, descendant à un premier palier, pour être sûr qu'ils le suivaient... Puis il continua la descente en courant... | |
| | | | Saito Oku
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Mar 9 Fév - 0:55 | |
| [Rui]: « C'est pas vraiment le moment de jouer... »
Un large sourire orna le visage de Saito. Comme si tabasser tout ce qui bouge à coups de batte était un jeu! Quoi que cette idée ne déplaisait pas totalement à Saito, ce genre d’activité pouvais être assez amusante parfois, bien que la majeure partie des sensations reçues lors des bagarres était l’ivresse du à l’adrénaline et à ce sentiment de puissance qui coule dans nos veines . Non, décidément se battre n’avait rien d’un jeu… c’était autre chose, un sentiment bien plus profond et une addiction des plus plaisante. Certes quand tout cela retombait il ne restait que la douleur, une sensation désagréable intense qui nous fait sentir chacun de nos mouvements. IL y avait dans le combat quelque chose qui rendait Saito plus vivant qu’il ne l’avait jamais été.
Toutes ses réflexion lui donnèrent un plus large sourire, il sentait en lui cette force resurgir cette envie de cogner dans quelque chose, n’importe quoi pourvue que l’ivresse et la douleur soit au rendez-vous.
Et après tout cela n’allait pas lui faire de mal, vus leur situation désespéré tout support, mais psychologique pourrait leur être utile, mais cela Saito n’en avait pas conscience, tout ce qu’il savait c’est qu’il allait encore se battre.
Et ça, ça lui plaisait…
cependant, la jeune lycéen le ramena vite à une réalité concrète, une réalité pour se déchainer, une réalité pour se battre et survivre.
[Natsumi]: « Euh ... Je ... Enfin, on est mal. Regardez là-bas. Ils arrivent. Si on ne se taille pas tout de suite, ils vont nous voir et nous attaquer comme les autres dans la cour .»
*Et bien soit qu’ils viennent!* Pensa le jeune Homme, un peu trop confient.
Ainsi donc ils étaient tous trois partie pour fuir ce lieux maudit. La remarque du deuxième lycéen sur le nombre des cannibale n’était pas fausse, il ne pourrait pas tous les combattre, mais Saito n’était pas contre d’en rencontrer quelques un sur le chemin, il n’avais visiblement pas conscience qu’une seule défaite était, dans ce cas précis, fatale. Dans cet état d’esprit il suivit ses nouveaux compagnons.
La suite se passa relativement rapidement, il n’y avait pas de place pour l’hésitation, et ils n’hésitèrent pas, enfin pour d’eux d’entre eux, mais Saito sentait que la jeune fille qui les suivais avait le potentiel de ce battre pour sa survit, la preuve elle ne s’était pas mit à chialer comme l’aurait normalement fait tout bonne fille qui se respecte. Ils descendirent donc les escaliers et les gravas qui les séparaient de leur liberté. Malheureusement ils n’étaient pas seul et si la plupart des zombie s’étaient ruée à l’étage tandis que le reste d’entre eux était coincé sous une quantité raisonnable de gravas, ceux de la cours qui avait échappé à la course folle du camion n’avait pas attendue une seconde pour infester le bâtiment de nouveau, il fallait agir et vite, encore une fois.
Et encore une fois leur nombre n’était pas propice pour déclenché une bagarre, ont pouvait voir leurs corps ensanglantés franchir le trou béant fait par le camion, ainsi que d’autre se relevant péniblement des coups visiblement non mortel, reçu.
A cet instant Saito sentit quelque chose d’étrange, d’incongru, quelque chose lui disait qu’il n’était pas normal qu’il puissent se relever, le camion aurait du les tuer, ou bien les assommer pour plusieurs minutes au moins. Mais non! Avec autant de détermination que tout leur semblable il se relevait comme s’il était tombé sur un sol trop glissant, mais sans aucune blessure.
Quoique, l’état de leur vêtement indiquait le contraire, et puis tout ce sang d’où venait-il?
A il avait mieux a faire que de ce poser des questions débiles!
[Saito]: « Si on passe par les salle de … biologie ou physique… enfin une matière chiante dans ce genre, on devrait atteindre l’arrière du lycée. »
Il regarda furtivement leurs agresseur avant de finir
[Saito]: Ca devrai être plus calme, et on pourra rejoindre la rue plus facilement... | |
| | | | Rui Mujaki
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Jeu 18 Fév - 17:04 | |
| L'homme en face de lui sourit... Un sourire malsain, un sourire qui en disait long sur son inconscience... Rui avait tué quelqu'un... Et il avait pas très envie de sourire. Il avait regardé la jeune femme, quand elle avait proposait de se tirer de là avant qu'ils arrivent tous... Elle ne semblait pas rassuré, mais son bâton à la main montrait bien qu'elle savait se défendre...
Il c'était tourné et avait soupirait, il était presque heureux d'être tombé sur des gens qui avait un minimum de bon sens pour savoir que c'est truc était pas très gentil et que s'il fallait frapper... Ils frapperaient... Le garçon lui faisait peur, mais émanait de lui une étrange envie de sang et de coups... Il se laisserait surement pas faire... Il courut toujours, atteignant les escaliers, dont les murs était écroulé, ouvrant un trou béant sur les étages inférieurs.
Il avait courut, déboulant les escaliers à toute vitesse, passant aux travers quelques gravats qui restait sur le chemin, il arrivèrent au rez-de-chaussée, mais derrière eux, dans les ruines de l'école, se relevait quelques uns des sinistrés... Saito: « Si on passe par les salle de … biologie ou physique… enfin une matière chiante dans ce genre, on devrait atteindre l’arrière du lycée. »Rui le regarda, il réfléchit deux secondes... Ouai! C'était faisable, il hocha la tête, regardant la jeune fille, elle accepta elle aussi, il continua alors, courant vers les salles de chimie du rez-de-chaussée, il avait posé sa batte sur l'épaule et courait devant, son cœur battait un peu plus fort... Certes, c'était une bonne idée... Mais bon, c'était vide... Il y avait personne, pas même un de ces « zombie »...
Il tournèrent au coin du couloir... Et ils découvrirent ce que Rui redoutait, quelques uns de ses monstrueuses choses... Il s'arrêta, serrant le visage dans une grimace de colère et d'horreur... C'était des lycéens, certains en tenue de sports... Il y avait même une fille en maillot de bain ,à qui il manquait un bras... Rui baissa les yeux, il serra le poing sur sa batte, c'était dégoutant...
Il se tourna vers les deux autres:Rui: « Bon... C'est le seul moyen de passer... Ils sont six... On est trois... On peut les avoir... »
Il regarda Saito, voyant qu'il n'avait pas d'arme...Rui: « Tu va avoir du mal avec tes points... Tu le verras bien assez vite, ils sont coriaces... »Il souleva sa batte et laissa voir le sang qui la maculé, il regarda aussi autour de lui... Il n'y avait pas grand chose pour armé le garçon, il y avait une armoire après les zombies, il la désigna, les mort-vivant eux s'avançant déjà vers eux:
Rui: « Court et trouve toi un truc... Faut viser la tête... »
Puis Rui se retourna vers le groupe ensanglanté... Il soupira... Puis s'élança, sans bruit, la batte levé...
Combat ... Séparation ... Fuite !!![Désolé Natsumi, je t'ai fait juste joué un peu, je post avant toi, et j'attend avant de déclaré mon combat... Si quelque chose vous gêné n'hésité pas... Un peu d'action sa fait pas de mal non?] | |
| | | | Zombies
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? Mar 22 Juin - 10:44 | |
| Le petit groupe de survivants qui s'était formé s'était élancé dans les couloirs du lycée pour fuir du cauchemar qui allait devenir leur quotidien. Natsumi suivait le groupe, armée de son bokken, restant sur les gardes quant à d'éventuels agresseurs. Au rez-de-chaussée, Saito engagea le combat contre un zombie. Dans la lutte, une partie du bâtiment, déjà fragilisée par l'accident, s'effondra. Natsumi eut le réflexe d'esquiver les débris de façon agile et de se retrouver à l'abris de l'éboulement. Une fois terminé, elle constata que les gravas s'étaient entassés entre elle et le groupe, l'isolant à nouveau, n'ayant que pour moyen de défense son bokken. Crrrr ...Un bruit alerta la lycéenne qui pointa son regard dans la direction du son. Elle y découvrit une fissure qui semblait s'ouvrir peu à peu laissant tomber quelque morceaux de pierres. Elle n'eut pas le temps de fixer son attention sur le pan de mur qui s'écroula derrière elle et qui s'écrasa sur al partie inférieur de son corps. C'est dans un nuage de poussière que la jeune fille tomba à terre, écrasée sous le poids du pavé de pierre.
Elle toussa tant bien que mal car ses poumons étaient compressés par la roche. Elle crachait du sang.
Le bruit significatif qu'on avait pût entendre lors du choc était sans nul doute celui de sa colonne vertébrale qui s'était brisée en deux.
Ses organes vitaux avaient été écrasés par la roche et elle n'avait plus longtemps à vivre. Et elle le savait.
La jeune fille avait peur face à l'avancée de la mort.
Les quelques secondes qui suivirent furent assez étranges. Bien que la mort était inéluctable, elle s'était finalement calmée et était sereine, voyant le long voyage comme une libération de ses souffrances. Elle avait du mal à respirer mais qu'importe, ce n'était plus important. Elle se sentait légère, comme enveloppée comme dans le tissu le plus doux du monde, se sentant protégée et sereine.
Une lumière douce l'enveloppa.Au moins, elle ne deviendrait pas comme ces créatures. La lycéenne avait les yeux fermés, comme si elle faisait un rêve. Un rêve éternel. | |
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| | Sujet: Re: A la pêche aux... Zombies !? | |
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| | | | | | A la pêche aux... Zombies !? | |
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